triste ville...
Triste ville que celle où même les bistrots ferment,
Où on abat les arbres dans les parcs que n'importe quelle municipalité censée serait heureuse de posséder.
Où la population active se résumera bientôt aux employés de banque, de compagnies d'assurances, d'agences immobilières et de lunettiers,
Où il reste un seul et unique libraire,
Où on n'a plus de plaisir de flâner en ville le soir parce que les vitrines des magasins sont désespérément éteintes dès la nuit tombée.
Heureusement il y a les bénévoles, tous ces Appelous qui se dévouent pour maintenir une énergie, un dynamisme dans les domaines les plus variés. Jeunes et seniors, hommes et femmes, tous peuvent en profiter grâce à cette volonté latente de ne pas tomber dans la désespérance qui nous guette.
On aimerait trouver la même volonté ailleurs que chez les bénévoles.